- 19 ANS . BISEXUELLE; préférence pour les femmes . CÉLIBATAIRE . ALBANAISE . VIOLENTE . MOQUEUSE . JOUEUSE . TÊTUE . FRANCHE . ÉGOÏSTE . se repose sur Zana et sa mère -

- Albanaise, donc née en Albanie. C'est donc sa langue maternelle.
- Est venue par la suite chez Zana et sa mère.
- Elle profite de tout ce qu'elle peut.
- la suite est libre, ses amis ou autre, à votre souhait (a).


Précision ; elles sont cousines.

J'étais rapidement rentré et j'avais été dans ma chambre. Évidemment, on partage la même, y a pas de place pour une autre chambre ou pour un autre lit. Je suis partie m'allonger et elle m'a rejoins dans la chambre. « Alors ce soir, t'a chanté ? » j'acquiesçai de la tête, pensant qu'elle allait me laisser tranquille. « je t'ai vu. Tu sais, si tu te dénude un peu, tu pourrais avoir plus de fan » sa main passa doucement dans mes cheveux, et à ce moment là, ça devint inquiétant. « n'importe quoi Lova, arrête tes bêtises. Ils aiment ma voix. » elle rit méchamment. « oui, mais peu l'aiment. Alors que si tu met un petit short ou.. un décolleté, ça irait tout de suite mieux », en même temps de ses mots, sa main glissa dans ma poitrine. « arrête Lova, qu'est ce que tu fais ? » elle murmura doucement qu'elle essayait simplement de me décoincé, de faire de moi une autre femme, plus belle, plus mature, moins vierge. Ce soir là, sa main avait glissé plus bas, à un endroit qui me paraissait interdit aux autres, et pourtant ça m'a fait du bien. Je crois qu'elle l'a compris, parce qu'elle souriait toute fière.
Après j'ai eu peur. Extrêmement peur. Je me suis dis que j'allais peut-être devenir lesbienne à cause de ça, j'avais peur de l'être. Je ne savais plus si il fallait que je dise si je l'ai déjà fais ou non, je ne savais plus si je pourrais encore l'approcher, et je voulais pas que maman voit, je voulais pas qu'elle sache. Je voulais redevenir moi, mais cette époque est fini à jamais. J'ai un peu changé mais pas tellement. Disons que j'ai peur de ma cousine maintenant, mais c'est tout. Je chante toujours dans ce bar trois fois par semaine, et je vis ma vie comme tout les autres, sauf que maintenant je connais le diable, et je sais qu'il peut me tomber dessus à n'importe quel moment, faire de moi sa victime à nouveau, et glisser sa main entre mes cuisses.