don't be racist. hate everyone.

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winternheimer, jagger

vingt-quatre ans . orientation sexuelle inconnue, a été vu en compagnie d'un canard . nationalité américaine . fêtard . sarcastique . joueur . sociable . rebelle . reporter sans frontière (parce que indiana jones n'existait pas dans les propositions de métier)

franchement, t'as cru que t'étais plus intéressant que moi ?

- sache pour ton information personnelle que Jagger Winternheimer est en train de marcher vers nous.
- oh my...!
- vite !
- Jagger Winternheimer?
- tu es nouvelle, je t'expliquerai.
- il arriiiiiive...!
- c'est vers moi qu'il vient ?
- je n'arrive pas à y croire, il vient te regarde alors qu'il ne te connait pas et que TU-NE-LE-CONNAIS-PAS.
- il est scandaleux ce type.
- oh, salut Jagger.
- bonjour Jagger.
- ça va Jagger ?
- heu... Moi c'est anna...
- dès que je t'ai vue j'ai eu envie de chanter Quelqu'un m'a dit, d'acheter une Rolex et de réformer l'économie. enchanté.

L'Amérique regorge de journalistes; Sanfran, L.A, NY dégueulent leurs reporters à la face du monde, avec la mission évangéliste de montrer le monde au monde. J'ai étudié à l'université du Lancashire central, au milieu de types et de gamines qui nourrissaient l'espoir d'un monde meilleur, persuadés de combattre de la pointe de la plume les infamies de l'univers dès leur validation de doctorat. Génial. Si moi j'ai fait du journalisme, je crois que c'est parce que j'ai toujours aimé la fuite. C'est en moi, depuis toujours, je ne tiens pas en place, je me lasse vitesse éclair, éternel blasé hyperactif, rien ne dure jamais avec moi, les femmes, les jobs, les lieux d'habitation. Rester cinq ans avec la même fille, m'installer dans un joli quartier et faire connaissance avec le primeur du coin, avoir mon bureau et mon fauteuil attitrés dans un immeuble que je connais par coeur me donne des sueurs froides. Même chose en ce qui concerne le sommeil. Je ne sais pas dormir. Adolescent, je sortais toutes les nuits. Je fais l'amour et je m'endors deux heures. Réveil éclairé par les rayons de la lune, je me glisse hors du lit sans réveiller la jolie blonde endormie à mes côtés, et je me jette dans les rues sombres de la ville du moment. Lorsque je suis en mission à l'étranger, mon cameraman et moi avons l'habitude de tenir la nuit grâce aux amphétamines. Ne vous inquiétez pas, nous nous droguons bien plus que ça. Je publie dans le Times, dans The Guardian, et je tiens une chronique dans le San Francisco Chronicles. J'ai un site web, et chaque post me rapporte un chèque signé avec soin par mes supérieurs. Je suis considéré comme un des meilleurs journalistes de ma génération. Alors, toute fausse modestie mise à part, que je vous explique... Lorsqu'un journaliste est considéré comme un « excellent journaliste », c'est qu'il a réussi à passer les frontières les plus dangereuses de la planète, à rapporter des documentaires sur les tribus les plus violentes du monde, et ce sans se faire prendre en otage – et faire chier tout le pays pendant des plombes – une seule fois. C'est ça, un héros moderne. Un excellent journaliste, c'est aussi quelqu'un qui ne perturbe pas l'ordre social. Tu trouves des scoops, c'est bien, mais tu les publies uniquement quand ils concernent un autre pays qu'un des pays des Droits de l'Homme. Crier au monde que les USA cautionnent le massacre d'une population d'Afrique Noire parce que ce sont eux qui ont vendu les armes à l'adversaire, d'abord, tout le monde s'en fout, ensuite, tu risques ta vie bien plus que si tu étais au milieu des combats. Vous l'avez compris, être sacré meilleur journaliste n'est ni une preuve de talent ni une preuve d'humanisme. Mais ce n'est pas mon problème. Abandonnons, si vous le voulez bien, le masque de la figure triste de l'humanité déchue, et qui souffre avec elle. Au milieu du monde, du vrai, pas de votre petite vie limitée, mais de l'immensité de l'univers et des routes interminables, il n'y a pas de place pour la compassion. Simplement une observation stoïque et la plus silencieuse possible. Ma passion? Aller toujours plus loin, explorer les espaces vides.
Jagger Winternheimer, San Francisco
avant les débuts de la Punition de Dieu dans le Trou du Cul du Monde.

→ bref, je me suis tapé une escort girl, et sans payer.

La première fois que je l'ai vu, il fumait un joint devant le lycée, côté privé, côté riches, le côté auquel je n'avais pas accès. À voir sa tête de dernier de la classe, ses boucles noires insolentes et ses yeux bleus faussement innocents, j'ai songé qu'il n'était qu'un gosse de directeur, d'entrepreneur, un gamin pourrit-gâté venu attendre ici que les choses se passent. Mais cette envie, cette envie irrépressible d'aller vers lui et de lui parler, de le bousculer, de le provoquer s'était déjà emparée de moi bien avant que je le réalise. L'approcher était déjà un quasi miracle – je me sentais si loin de lui, si étranger à chaque particule de sa personne – et en ma voix le héla avec plus d'autorité et d'agressivité que je ne l'aurais voulu, pour lui dire qu'il était interdit par la loi de fumer de l'herbe. Jagger Winternheimer a tiré une longue bouffée de fumée avant de me regarder dans les yeux. Étrangement, et contrairement à ce à quoi je m'attendais, il n'y avait ni arrogance ni complexe de supériorité dans son regard. Simplement un étonnement poli, et, peut-être, un peu de pitié pour ma personne. Sa voix grave et calme m'expliqua que je me trompais. La marijuana n'était pas illégale, elle était payante. Je lui riais au nez, du rire jaune de celui qui essaie de ne pas se laisser démonter. Jagger a haussé un sourcil, et a intercepté d'un signe de main un agent de police qui passait en voiture au ralentit le long de l'avenue. L'agent lui a demandé quel était son problème, Jagger lui a expliqué qu'il avait de la marijuana entre les doigts, et combien coûtait l'amende pour ça. Le policier a donné le prix, Jagger a sorti des billets de banque de la poche arrière de son pantalon, et a payé l'amende. Le policier a pris l'argent, et est remonté dans sa voiture. Jagger a tiré sur son joint en plongeant son regard dans le mien.
À ce moment là seulement j'ai compris que qui n'a jamais parlé à Jagger Winternheimer ne connait pas Jagger Winternheimer.

- Remy Gangbanks est la femme de ma vie.
- Fairbanks? Tu la connais même pas.
- Qu'est-ce qu'on en a à foutre?

Je voulais Remy Fairbanks pour deux raisons. On m'avait dit qu'elle était belle, on m'avait dit qu'elle était imbuvable. J'ai attendu sagement qu'on me la désigne dans un couloir du lycée, puis j'ai décidé que ce serait elle ou rien. À qui donc sa blondeur naturelle de fleur des champs, son visage ovale de poupée gonflable et ses jambes bronzées n'auraient pas fait l'effet d'une décharge électrique reliant directement le cerveau au dessous de la ceinture? Je pensais que l'avoir serait difficile, qu'elle m'imposerait des barrières. Que dale, Remy Fairbanks m'a laissé lui arracher sa petite culotte et lui mettre la main là où je pense aussi facilement que n'importe quelle fille. En plus de faire l'amour comme une déesse, Remy Fairbanks a refusé de s'endormir contre mon torse après l'orgasme, et a préféré se barrer et me laisser tout seul. C'était la première fois qu'une fille me baisait.
Trois mois plus tard.
« Beauté fatale, j't'ai cherchée toute la journée. » « Menteur. » « Bon, dix minutes au moins. » « Eh bien tu m'as trouvée maintenant. Tu t'ennuies de moi, Don Juan? » « Mortellement, Juliette. Il faut que je t'enchaine à mon lit pour être sûr de te garder avec moi la prochaine fois? » « Où est-ce que tu as vu qu'il y aurait une prochaine fois?... » « Il n'y aura pas de prochaine fois? » « Sauf dans tes rêves... » « Menteuse. »
Autant te dire que je me suis surpassé. Trois heures au lit non stop, conclues par un final dont tu devrais selon mes estimations te souvenir toute ta vie. « Tu m'as épuisée... » « C'est la seule tactique que j'ai trouvée pour que tu restes. » « Me vider de mes forces? » « Te faire sentir que je suis dingue de toi. » Silence. Je tourne mon visage vers toi, à mes côtés sur l'oreiller. Nos regards se croisent et déjà, la glace dans tes yeux bleus a entièrement fondu. « Toi plus moi? » Tu as dit oui. Malgré tout, Remy, je crois que je reste le plus fort.

On lui dit qu'on est fou d'elle pour obtenir ce qu'on veut. Mais, messieurs, sachez que lorsque votre copine commence à vous procurer plus de plaisir et à vous prendre autant d'attention que votre came, c'est vous qui êtes alors véritablement foutus. Les choses ont commencé à merder quand j'ai réalisé que j'étais en train de tomber amoureux de toi. T'explorer, te parler, te deviner devenait une passion, t'avoir en moi une obsession, tu étais devenue le porte-bonheur que je devais sans cesse avoir avec moi, et sans toi, j'avais peur. Peur de te tromper et te faire du mal. Peur que tu m'oublies le temps d'une seconde. Je commençais à te connaître, et tu lisais de mieux en mieux en moi. Bientôt, nous serions deux livres ouverts l'un pour l'autre, des âmes sœurs nées pour mourir ensemble. Les jours, les mois passaient, et ma vie n'avait plus aucun sens sans ta présence. Nos existences commençaient à devenir symbiotiques, notre liberté s'enchainait elle-même autour de son bourreau en ronronnant - je devais agir.

Daniel, mon cameraman chilien (particulièrement seul au monde en cette époque centrée sur la barbe et la kippa), particulièrement défoncé à l'herbe, aux cheveux trop longs et au style vestimentaire un peu trop conceptuel au goût de l'humanité entre dans la pièce, deux billets d'avion entre les mains. Affalé dans le canapé, je lis un magazine people totalement dénué d'intérêt devant MTV sans le son. « Tu bouffes McDo depuis un mois? » « Un problème avec ça? » « Pas le moindre. » « Qu'est-ce que tes semelles de chilien bouffeur de chien viennent foutre ici. » « Mec, je jouis dans mes bas et t'annonce que ta candidature a été acceptée. (il me balance les billets à la gueule) On part demain pour la Libye, ça commence à être chaud là bas. » Je me lève d'un bond. « YESSS » « Un contact nous attend à Tripoli. Prépare toi à une orgie de cul, de came gratis et de batata mubatana. Et quand je dis came, je dis vraie came, pas la même merde qu'en Afghanistan – putain j'avais jamais eu autant l'impression de chier des cailloux. » Daniel commence à délirer, et moi à ouvrir la valise cabossée et à y enfoncer tout ce que je peux – pipe, inhalateur (que je ferai passer pour ma ventolin à l'aéroport), capotes. « Le darkside de l'histoire, c'est que Danson veut qu'on lui envoie un rapport par semaine. Mais on fera avec, j'ai déjà une idée de reportage: Libye, le dernier cri de la liberté. »
23h50
Je suis assis sur ma valise, qui refuse de fermer à cause des chemises mal pliées à l'intérieur. Téléphone entre les mains, texto en cours. « J'ai pas vu passer ces six mois avec toi. C'est justement ça qui m'inquiète. » Je m'arrête. Prononce son nom à haute voix (« Remy Fairbanks, Remy Fairbanks, Remy Fairbanks »), et efface le message. L'avion décolle à 7 heures 45.

→ il grêle dans mon coeur, et mon intestin pleut.

De retour dans cette ville morne et sans frénésie qu'est Frisco. Dans les bureaux du journal, Danson est furax, sa moustache frémit à chaque beuglement, il a un bout de bacon coincé entre les poils. Je me fais chier. « Un an sans nouvelle, une putain d 'année que je te cherche partout! Introuvable! On te disait mort! Ah ils se sont bien foutus de ma gueule. » Je pense à Daniel, toujours dans notre chambre d'hôtel en plein désert, sa pipe à crack à la bouche, ses cheveux sales noués en un chignon de Hun au-dessus de son crâne. J'ai déjà le mal du pays, le jet-lag me baise par tous les trous, et si Danson pouvait arrêter de gueuler... « Qu'est-ce que tu crois mon bonhomme, que tu peux me la mettre à l'envers? T'as signé un contrat de quatre ans avec moi, et crois-moi... » C'est qu'il se mettrait presque en colère, pépère. « … t'envoyer dans un people à la con... te remettre les idées en place... réalise pas ta chance... » Le soleil doit commencer à se coucher sur la Libye, à l'heure qu'il est, et baigner le désert endormi d'un sourire rouge sang. « Tes derniers reportages en date n'avaient aucun sens, tu écrivais sous amphétamines, nom de dieu de merde! » Je sursaute. Qu'est-ce que Dieu a à voir avec les amphétamines? « Ras-le-bol. Tu dégages. Brysonplace pour deux ans, jusqu'à la fin de ton contrat. » Je me réveille petit à petit, comme du rêve le plus merdique de la vie. « Pardon? C'est quoi ça, un autre nom pour Guantànamo? » « Brysonplace, petit branleur, c'est le nouveau lieu à la mode: village minuscule et agricole, repère des rebuts de l'humanité, des fous et des prostituées, et il se trouve que j'ai besoin d'un rapport détaillé sur cet endroit. Je veux savoir si le chef de l'armée s'y rend en cachette pour partouzer sans capote, et si la secrétaire d'état y fait des orgies en maison-close, je veux le savoir aussi. Brysonplace, prison ou palace? Le digne héritier des camps de concentration? tu te démerdes. » Encore un seul mot et mes yeux me sautent des orbites. « Oh non, Danson, je sais pas faire ces trucs-là moi, merde, c'est d'la branlette ça. Donne moi plutôt la Palestine, allez quoi! » « Tu te fous de ma gueule? » « Sérieusement, Danson, tu sais mieux que moi que je suis incapable de bosser sur un sujet pareil. J'aurais l'impression de balancer ma canette de Coca sur un enfant somalien sous-alimenté que j'aurais confondu avec un bout de bois, tu vois ce que je veux dire? » Il voit pas ce que je veux dire. « Quand est-ce que t'as entendu que t'avais le choix, gamin? Tu pars demain. Essaie de te barrer, et je le saurai. Essaie de pas arriver à la gare de Brysonplace demain à midi, et je le saurai. Et là, je peux t'assurer que ce sera la fin claire et nette de ta carrière de branleur, pigé? »

Il fait trop chaud dans cette ville, trop chaud et trop sec, mon sang se fige, il n'est pas habitué aux atmosphères de campagne. Ma valise me nique les mains tant elle est lourde, je suis en manque de drogue et j'ai l'impression de chausser subitement du 47 dans des pompes taille 38. Cette ville pue l'ennui à des kilomètres, et je viens de voir le sosie de Remy sortir du bureau de tabac. Malgré tous les coups de pute qu'Eve a fait à Adam, Dieu punit les hommes de peu de foi qui abandonnent lâchement leur moitié. Seigneur, quand je disais que Remy Fairbanks était la femme de ma vie, je déconnais... d'accord? Un grand adolescent fringué en rockeur ringard des années deux mille me demande en me postillonnant dessus si j'ai pas vingt dollars à lui lâcher, vas-y mec, sois cool. Je lui balance ma valise à la gueule et le sent qui s'écroule sous le choc près de moi. Brysonplace, je suis d'une humeur de merde, et ça va chier.

- pseudo/prénom : oaristys. alizé . âge : 22 ans juste . sexe : indéterminé, j'ai jamais osé regarder . avatar : non mais non, il a trois shoots de potables . groupe : indiscipliné . présence : 9/10 . comment as-tu trouvé le forum : depuis les germes de sa création sur bazzart . ton avis : rien ne pouvait me faire autant plaisir que badant . il manque quelque chose ? : il manquait moi mais je crois que l'erreur est réparée. (pour m'envoyer une brique à la gueule, voici mon adresse: 666 Loose Street, Brysonplace, USA) . autre chose ? : coeur . scénario ou inventé ? scénario de remy ♥ -

je sais que t'as kiffé

Bienvenue

don't be racist. hate everyone. 577704309

j'aime le nom, j'aime l'avatar (même si je sais pas qui c'est xD), j'aime la bannière, et j'aime le titre. Bref, je t'aime don't be racist. hate everyone. 2896134664

Invité Invité

trop d'amour, je vais finir par imploser.
moi j'aime totalement ton statut de "dérangé" à côté de la photo des petits chats, on sent venir le coup foireux à cent mètres don't be racist. hate everyone. 1881463262

don't be racist. hate everyone. 1881463262

merci

Invité Invité

OH ! MY GOSH ! J'ai lu ton début de fiche c'est juste orgasmique don't be racist. hate everyone. 1529576775

(avatar, titre, bann, son boulot, l'ensemble quoi et ta plume) Waou !! Bienvenue !! don't be racist. hate everyone. 3692275797

don't be racist. hate everyone. 2176505670

Petite question sur :

Citation :: a été vu en compagnie d'un canard .

Est-ce que le canard a survécu au passage de Jagger ?

Invité Invité

oh putain, merci don't be racist. hate everyone. 1695130124

(ok, donc là j'ai la pression jusqu'à la fin de la fiche, noted.)
et toi, je vais aller lire ta fiche dès demain, parce que j'serais incapable de jouer un perso mythomane mais ça a l'air fascinant don't be racist. hate everyone. 577704309

concernant le dit canard, la police l'a interrogé pendant huit heures ; il n'a pas parlé.

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
J'aime le début de ta fiche également muhah c'est bel et bien original

Invité Invité

bienvenuuue officiellement I love you

tu vas me donner des complexes vu comme t'écris bien don't be racist. hate everyone. 1881463262

encore merci de tenter le scénario don't be racist. hate everyone. 577704309

si tu as des - d'autres - questions tu sais où me trouver don't be racist. hate everyone. 2739476978

Invité Invité

merci preston

(mais... il est BEAU sean sur ton avatar don't be racist. hate everyone. 1529576775

c'est rare qu'il me fasse de l'effet celui-là, mais bon choix, pour le coup)

remy, non mais de quoi tu me parles, t'as vu ta fiche? c'est d'la bombe en stick, limite j'angoissais devant le scénario tellement le passage est... tout ce que j'aime. don't be racist. hate everyone. 3442273484

don't be racist. hate everyone. 3442273484

je le tente avec grand plaisir, et j'espère vraiment que mon jagger va correspondre avec l'idée que tu te fais de jagger I love you

(ok, invitation gratos dans ta boite perso, noted don't be racist. hate everyone. 3324193100

)

Invité Invité

oh bah merci beaucoup don't be racist. hate everyone. 577704309

pour le coup elle a été écrite au feeling, donc à l'arrache avec un style plus familier tu meurs, j'ai pas l'habitude, mais c'était cool don't be racist. hate everyone. 1113388014

don't be racist. hate everyone. 1113388014

(bref osef de ma vie

)
je suis raaaavie que tu le tentes en tout cas, j'ai très hâte de lire la suite don't be racist. hate everyone. 2739476978

Invité Invité

je trouve ça facile de blablater dans les fiches, mais les dialogues, c'est le plus dur. ceux de ta fiche sont orgasmiques, on s'y croirait, et c'est rare d'arriver à autant de naturel au niveau de l'oral, à l'écrit. alors me parle pas de complexer, HEIN. (la suite, la partie la plus importante don't be racist. hate everyone. 2120413034

don't be racist. hate everyone. 2120413034

) (je commence déjà à chercher mes smileys dans 'sexe', ça craint.)

Invité Invité

je préfère toujours les dialogues à la narration, j'suis pas excessivement douée pour décrire les sentiments, la psychologie, toussa, je suis plutôt dans lr'action don't be racist. hate everyone. 2739476978

bah tiens, commence à chercher oui, prépare toi, avec Remy ça va donner don't be racist. hate everyone. 849349850

alors TOI, ça fait un moment que j'attends que tu postes ta fiche ! Oui, parce que ton avatar me faisait déjà mouiller. Si c'était l'effet escompter, bah tu as réussis ! Bref, j'ai lue le début de ta fiche et tu me donnes envie d'être reporter sans frontières, limite juste pour les amphétamines Junkie ? Non je vois pas. Tu sais j'ai jamais oser te le dire mais le canard c'était moi tu m'en voudras pas hein ?

Citation :

- oh, salut Jagger.
- bonjour Jagger.
- ça va Jagger ?
- heu... Moi c'est anna...

j'ai littéralement exploser de rire, jamais on me l'avait faite ! grâce à toi j'aurais un beau stock de blague. tu l'auras comprit avec ta fiche, il y a tellement de chose que je pourrais en tirer mais je dois pas faire de jaloux et faire comme si je m'en foutais, alors osef elle est nulle ta fiche !
BREF TON AVATAR (que je ne connais pas) + LE SCENARIO DE REMY, LA MOULE, + LE PSEUDO + LA FICHE = J'TE TROUE
Bienvenue sur bebad.com, le nouveau site de rencontre qui te file des orgasmes virtuels et de manière régulière. Tu le sais peut-être pas mais on est mieux que adopteunmec.com alors tu as fait le bon choix en les quittant pour nous ! Puis comme je t'aime pas, je te souhaite de rater ta fiche, comme ça tu pourras venir m'aduler pour que je puisse faire genre tu la réussis. Puis si tu as des questions, je ferais la sourde oreille parce que tu es nul et tu pus (osef viens me voir je suis la meilleur )

Invité Invité

La moule, la méchante, les surnoms me collent à la peau don't be racist. hate everyone. 337664734

(depuis peu on m'appelle aussi ragote mais je garde pour moi les détails de l'origine du surnom

)

j'ai encore tout pleins de surnom en réserve pour toi ma petite

Invité Invité

non je ne veux pas savoir don't be racist. hate everyone. 337664734

Invité Invité

Remy Fairbanks a écrit:: bah tiens, commence à chercher oui, prépare toi, avec Remy ça va donner

donc je suis censée faire quoi, là. non parce que cette laisse de cuir qui retient actuellement jagger va forcément finir par se péter, et là, là, on va plus rien contrôler. don't be racist. hate everyone. 840220340

don't be racist. hate everyone. 840220340

d'accord, maleva, tu viens de faire ma soirée là. don't be racist. hate everyone. 1881463262

attends, le canard, c'était toi? don't be racist. hate everyone. 1434860120

mais, mais, mais, pourquoi? pourquoi ces barrières du langage, pourquoi ces 'coin' à répétition pendant que je te criais mon amour? ô cruelle. et moi qui te pensais palmée.
nan mais j'ai aucune question de toute façon, aucune envie de frapper à ta porte et de te susurrer des interrogations à l'oreille, parce que tu es de toute évidence la plus mauvaise admin de ce forum. (bon, maintenant suis-moi, on sort par la droite et on se retrouve derrière le rideau marron, et tu me refais le coup du canard don't be racist. hate everyone. 1923668142

don't be racist. hate everyone. 1923668142

)

(remy, je pense qu'avec jagger ya moyen que tu payes ton surnom également, rajoute-le à la liste don't be racist. hate everyone. 3265981769

)

Invité Invité

lâche la laisse, fais péter les smileys pervers don't be racist. hate everyone. 2739476978

REMY REMOCHE, la base don't be racist. hate everyone. 337664734

je pense que les surnoms, ça va y aller, de toute façon, tout est propice aux surnoms, soyons fous don't be racist. hate everyone. 1113388014

Invité Invité

remy gangbanks, validé. don't be racist. hate everyone. 749212812

Invité Invité

bien jouéééé don't be racist. hate everyone. 173490454

Invité Invité

Bienvenue toi !
don't be racist. hate everyone. 1411664268

J'ai pas aimé ta fiche, nah vraiment c'était de la merde à l'état pur...
( pour faire originale don't be racist. hate everyone. 1113388014

)

don't be racist. hate everyone. 3189508454

Vivement que tu sois validé pour que je puisse aller polluer ta fiche de lien don't be racist. hate everyone. 609007472

JE CROIS QUE NOS PRÉSENTATIONS ONT DÉJÀ ÉTÉ FAITES Et putain, ton avatar me dit trop un truc mais j'arrive pas à remettre le doigt dessus, ça m'fou limite les boules quoi Ta fiche envoie tellement pas de lourd, franchement je comprends pas pourquoi tu tentes le scénarios quoi. Ta fiche, j'ai juste envie de lui gerber à la gueule, même pas la peine de la continuer. Questions compliments, ça te va? Bienvenue à la maison

Invité Invité

merci madox (l'agressif et l'indiscipliné, on va s'entendre don't be racist. hate everyone. 2453597100

)

oakley, j'pense pas que tu connaisses, en vrai il ressemble absolument pas à l'impression qu'il donne sur ce shoot, c'est pourquoi je donne pas le nom, j'ai honte, haha. niveau compliments, jt'avoue que tu m'as pas vraiment rassasiée là, encore. don't be racist. hate everyone. 337664734

TA FICHE -c'que j'en ai lu, du moins- don't be racist. hate everyone. 173490454

j'aime déjà !
et ton avatar, je sens que je vais aimé le type aussi -non, je ne sais pas qui c'est-
BIENVENUE don't be racist. hate everyone. 173490454

Des fois, je m'aime Ça ne serait pas L.J. ? (à)

Invité Invité

merci jolie (ton avatar I love you

)

oakley, non, pas l.j, même si je le joue sur plusieurs forums et que je compte dériver sur lui si jamais changement d'avatar il y a au fil du temps, vu qu'ils se ressemblent beaucoup, bien vu. (a)

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