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| ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. | |
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| Sujet: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Ven 16 Mar - 22:30 | |
| - vingt-deux hivers .venez mes belles demoiselles faire un tour à Sdney land plaisir garanti . vol de fleur en fleur et ne pense pas s’arrêter . américano-polonais s'en en être sûr à 100% c'est ça d'être un bâtard . plus impulsif que lui tu meurs . colérique comme on en fait plus . possessif maladif : il t'a eue t'es foutue . je-m'en-foutiste déclaré . si violent qu'il fait fuir les bulldog . Emmerdeur à temps plein, escroc professionnel, dealer si besoin, voleur pour ses beaux yeux et combat dans ses rencontres clandestines comme gagne-pain officiel. - franchement, t'as cru que t'étais plus intéressant que moi ?Tel un animal allant à l'abattoir, on l'avait emmené vers ce lieu inconnu. Sa toute dernière chance, voilà la manière par laquelle le directeur avait nommé cet endroit avant de refermer la porte. Un homme - bien loin d'être impressionnant - lui faisait face. Néanmoins, on lui avait affirmé qu'il tenait entre ses délicates mains son avenir. Ce n'était nullement ce genre de sentiment qu'il lui inspirait. Non, il lui faisait tout simplement pitié. S'installant sur la chaise qu'on avait prévue à son égard, il fut assailli de questions en tout genre. Une seconde il lui demandait pourquoi il pensait être là, celle d'après si tout allait bien dans sa vie. Répondant simplement par un léger signe de tête, il jouait au gamin imbécile ne comprenant rien. La vérité était bien opposée, il connaissait sur le bout des doigts les raisons de sa venue. On l'avait amené parce qu'on ne savait tout simplement plus quoi faire de lui. Du haut de ses quinze ans, il était devenu du haut de ses quinze ans un cas social au sein même de l'orphelinat. « Te souviens-tu du jour de ton arrivée ? » Assez perturbé par cette question, il arqua légèrement un sourcil tout en l'accompagnant d'une moue intriguée. En quoi ce petit détail pouvait-il à ce point l'intéresser. Peut-être parce qu'au fond, ce n'en était pas un... Peut-être parce que ce petit évènement insignifiant était en fait l'un des noeuds de l'énorme problème qu'il était. Répondant négativement de la tête, il repartit dans le flot de ses pensées, se rappelant, avec douleur, l'abandon de sa mère. Il voulait qu'il en parle mais il n'en avait aucune envie. Grace était le sujet interdit, celui qui le rendait faible, lui rappelait les horreurs auxquelles on l'avait soumises bien trop tôt. Depuis sa naissance, il était contraint de porter, telle une marque au fer rouge, le titre de bâtard. Son père n'avait jamais voulu de lui, peut-être même qu'il n'avait jamais su qui il était. Cette hypothèse se révélait d'autant plus plausible que sa mère avait exercé, pendant des années, en tant que péripatéticienne. La seule décence qu'elle avait prise à son égard, c'était de l'emmener dans le placard dès qu'un client pointait le bout de son nez. Elle le cachait à la vue du payeur toutefois, elle ne prenait pas la peine de faire l'inverse. S'en même s'en rendre compte, il avait vu son enfance s'envoler sous les coups de reins ravageurs de ses clients. Pauvre spectateur, il l'était encore et toujours quand ses images revenaient dans sa mémoire, le torturant davantage, l'amenant à prendre conscience de combien certaines actions pouvaient tuer. « Tu le sais Sidney, ton attitude est loin d'être excellente et je me demandais ce qui te poussait à te comporter de la sorte.. » Il jouait au faux-ami, celui qui sourit par devant et tue par derrière. Ses actions n'étaient poussées par rien de particulier. Il agissait simplement comme il en avait envie. Personne ne lui dicterait sa loi, ne l'obligerait à devenir spectateur et surtout ne le réduirait au silence. Des coups, il s'en était pris depuis son arrivée à l'orphelinat. Refusant de se laisser avoir par les plus âgés, il avait, à tout âge, choisi de sortir les poings, préférant finir la gueule explosé que tel un jouet. Décidant d'enfin prendre la parole, il annonça d'une voix sans émotion ces quelques mots. « Les enfants ne sont pas gentils entre eux, encore moins dans ce genre de lieu. » Il ne parlait pas de lui en particulier et ne le ferait sans doute pas devant un tel phénomène. Il n'était pas un rat de laboratoire dont on pouvait observer les réactions. Non, il était une énigme sans queue ni tête créée dans l'unique but de rendre fou toute personne s'en approchant. « C'est sûr que tu ne vis pas dans un milieu facile mais pourquoi t'en prends-tu autant aux jeunes filles ? » Sa question ne le surprit guère. Il s'attendait à ce que la question soit posée au cours de l'entretien. Son rapport avec la gente féminine n'était pas excellent. Pire, il avait même entendu une ou deux fois une surveillante le décrire comme un masochiste à tendance violence. Il n'avait pas tout de suite compris où elle voulait en venir mais maintenant, c'était différent. Il se connaissait assez pour comprendre que les demoiselles avaient autant de valeur qu'un paillasson à ses yeux. Juste bonne à vivre, elles étaient des chiennes dont il se servait sans tenir compte des conséquences de ses actes. A l'orphelinat, les filles l'évitaient comme la peste, sachant que si elles s'approchaient trop près, elles recevraient des paroles acerbes ou bien pire. La violence n'avait dans son esprit aucune fin, elle montait, petit à petit et lui permettait de déverser sur le monde cette rage immense qui restait coincée dans son être. Cette dernière prenait son origine dans la première femme qui avait fait de sa vie un enfer, celle qui avait décidé de l'évincer de sa vie pour aller de l'avant. Sidney n'avait jamais été un orphelin comme les autres, non, on avait tout simplement choisi de l'abandonner. Il était comme un poids mort dont on s'était débarrassé le plus rapidement possible. Prenant à nouveau la parole, il parlait d'une voix sans émotions. « Les femmes sont faibles, stupide et en prime, elles ne servent à rien. Ce sont des petites choses fragiles. Je ne fais que remarquer à mes comparses le rôle qu'elles joueront dans la société. » Il pensait chaque mot et cela n'échappa point au psychologue. Il n'arrivait point à regarder le petit garçon dans les yeux, remarquant seulement maintenant l'être effrayant qui pouvait se cacher derrière son attitude extrêmement passive durant toute la durée de l'entretien. « Nous en avons fini pour aujourd'hui Sidney, tu peux aller rejoindre Monsieur Marshall. » S'exécutant, il quitta la pièce sans se douter une seule seconde de ce qui était en train de se jouer. Non, le pauvre adolescent n'avait aucune idée que l'homme venait de noter, sur son dossier, une petite phrase pour tout résumé. "Cas désespéré..."
Dégueulant tout ce qu'il avait dans son estomac, il essayait tant bien que mal de garder les yeux ouverts afin d'arriver jusque son chez soi. Cette pensée le fit rire jaune tandis qu'il savait, sans la moindre hésitation que jamais il ne considérerait cette demeure comme sienne. En effet, il n'y était qu'un invité de passage, quelqu'un qu'on prenait pour le fric et de qui on ne devrait plus s'inquiéter. Ce choix était aussi la dure décision d'un ultimatum. C'était soit la vie dans cette famille d'accueil pourri jusqu'à la moelle par l'argent ou bien le centre de redressement. Même l'orphelinat ne voulait plus de lui. Il faisait fuir les potentiels parents, terrorisait les autres enfants, détruisaient certaines demoiselles qui s'enfermaient dans un mutisme sans non dès qu'il était dans les parages. A son départ, personne n'avait pleuré. Ils avaient tous fêté l'évènement comme s'il était le mal personnifier. On ne l'aimait guère et il le rendait bien. Vivre dans cette maison plus que délabrée avait quelques avantages. Le premier était de pouvoir agir à sa guise. Du moment qu'on recevait l'argent de sa pension tous les mois, il avait le droit de sécher les cours, de fumer et boire toute la journée. Il pouvait faire la fête toute la nuit, baiser à tout va ou se battre, rien n'avait d'importance pour l'homme chez qui il vivait. Travaillait la nuit, il ne devait pas avoir peur de le réveiller et s'il découchait, on ne remarquait même pas son absence. Un excès de liberté qui le rendait beaucoup plus puissant et fou... Il ne comptait plus les soirées passées au poste police pour ses bagarres ni même celles à l'hôpital. Il n'était pas une bonne personne et tout le monde s'accordait sur ce point. Des amis, il n'en avait pas vraiment. Les gens gravitaient autour de lui sans pour autant oser l'approcher. Sans doute apeurés par la violence dont il pouvait faire preuve et la colère qui montait avec une facilité déconcertante en lui. Montant les marches d'escaliers, il se moquait du bruit qu'il pouvait faire. Lorsqu'il arriva devant la porte, il l'ouvrit dans un vacarme assourdissant et la referma derrière lui. Comme chaque fois qu'il trop bu, il enleva tous ses vêtements comme pour se sentir plus à l'aise. Il s'engouffra sans aucune hésitation dans ce petit lit qui n'était nullement le sien. Toutefois, il y passait tellement de nuits qu'il se l'était quelque peu approprié tout comme la personne qui y était assoupie. A peine s'était-il installé qu'il recommençait la même rengaine. Tout d'abord, s'approcher de l'enfant endormie avant de la couvrir de baiser et puis lier, en douceur, son corps au sien. Cela n'aurait rien d'étrange, si elle n'avait pas été la fille de l'homme qui l'accueillait. Agée d'à peine quinze ans, elle devenait, chaque soir, une chose, entre ses tendres mains, le prolongement de son envie mais elle ne disait rien. Non, tout était perturbé et en même temps si compliqué. Jamais elle n'avait dit oui, comme jamais elle n'avait dit non. Elle restait muette, acceptant son drôle de comportement et rendant le sien encore plus étrange. Fou, ils devaient l'être tous les deux, sans doute elle plus que lui. Quelle personne normale aurait accepté de se faire traiter de la sorte ? D'être humilité d'une si horrible manière ? De perdre toute volonté pour quelques instants de plaisirs et surtout d'aimer un être sans coeur ? Après l'avoir utilisée, il s'endormit... Malheureusement la dose d'alcool qu'il avait ingurgitée causa sa perte. Une porte s'ouvrant doucement et puis une voix, forte, si forte brisant le silence. « Qu'est-ce que tu fais dans son lit ! » Pas le temps de réagir qu'on l'enlevait de là, le mettant au sol avant de le rouer de coups. Pas le temps de se défendre, qu'il ne sentait plus son corps. Tout n'était qu'un amas de douleur sans nom. Du regard, il voyait l'air horrifier de Clara qui essayait, avec sa force de bébé crocodile de l'aider. Lorsqu'il s'arrêta, Sidney était bien incapable de bouger et pourtant, s'il restait, sa vie allait passer de vie à trépas. Son "père adoptif" l'attrapa par la chevelure avant de lui dire d'une voix ferme mais sans aucune peur ces quelques mots. « Tu as exactement une heure pour foutre le camp de cette maison, de Boston et même de l'état. Sinon je te jure que tu seras arrêté pour viol... Ne crois pas que tu t'en tires sans rien. Je connais du monde dans la police et tu auras une tentative de viol sur ton casier judiciaire. Je peux t'assurer que ce n'est rien en comparaissons de ce que je pourrais te faire. L'homme tapa sur Sid comme dans un ballon de football. La douleur était forte mais son corps était tellement endolori que ça ne faisait pas une grande différence. Le tortionnaire quitta la pièce et la maison tandis qu'il reprenait légèrement ses esprits. « Sid, est-ce que tu vas bien ? » Elle paraissait inquiète tandis qu'elle l'aidait à se relever. Dès qu'il fut débout, il la repoussa avant de partir vers sa chambre. A peine arrivé, il commença à faire son sac tout en essayant avec force de ne pas craquer face à la douleur qui le saisissait de toute part. Il n'eut tout de fois pas le loisir de faire son sac en paix puisqu'elle accourut dans la pièce. « Tu pars, c'est ça ! Tu écoutes ses bêtises... Tu m'abandonnes, tu vas me laisser comme ça ! » Elle pleurait à chaudes larmes et il continuait d'agir sans réagir. Il finit son sac, s'habilla avant de s'en aller vers la porte mais elle lui bloquait l'accès. Il essaya de la pousser cependant, elle s'y accrochait avec une force qu'il ne lui connaissait pas. « Je dois y aller, tu ne comprends pas qu'il va me foutre en prison parce que j'ai voulu m'amuser avec toi ! Tu n'es rien pour moi ! Tu n'es qu'une distraction pour mes nuits ! Rien de plus. Je ne veux pas aller en taule pour toi... Tu n'en vaux vraiment pas la peine. » Elle le baffa avant se coller dans ses bras pour qu'il ne la quitte pas. Fatigué par cette manière d'agir, il la repoussa mais elle revenait à la charge. Il était malheureusement coincé... « Tu dis cela pour lui faire plaisir toutefois, tu sais que c'est faux... Tu adores nos moments autant que moi... » Il semblait perturbé parce qu'elle venait de dire, par cette manière dont ils avaient agi ensemble et surtout par le fait qu'elle ne lui avait jamais rien dit sur ses moments avant ce matin. Il griffonna quelque chose sur un petit bout de papier avant de lui donner. « Tiens, tu pourras m'appeler lorsque tu auras dix-huit ans et qu'il ne pourra plus rien te dire... » Il l'embrassa délicatement sur la bouche, le seul moyen pour qu'elle le laisse partir. Elle fut toutefois plus rapide qu'il n'y pensait. Revenant à la charge, elle approcha de son oreille et y prononça délicatement quelques mots. « Il y a une meilleure manière de se quitter. » Comme pour le lui montrer, elle posa sa main sur son corps. Ce qu'il allait faire était fou, blessant, tout simplement digne de lui. Il avait une bonne demi-heure devant lui, il pouvait bien s'offrir un extra avant de s'en aller non ? Il l'embrassa une fois de plus, comme pour lui montrer qu'il marchait dans cette idée folle. Dès qu'il en aurait terminé, il quitterait la maison sans se retourner. Il n'avait encore aucune idée où le conduirait ses pas mais il avait une profonde certitude. Où qu'il aille, la liberté l'accompagnerait comme sa plus fidèle amie.
La drogue faisait partie de son monde depuis quelques années déjà. Il en avait essayé de toutes les sortes et sous toutes les formes. Cependant, aucune de ses dernières ne lui faisait autant d'effet que Sloaàn Zeppelin Rosenwal. Il l'avait rencontrée comme on rencontre tant d'autres et pourtant, elle avait réussi là où toutes les autres avaient échoué. Une part d’elle s’était immiscée en lui, le rendant si fou d’elle qu’il pensait parfois à crever rien que pour faire cesser l’effroyable douleur. Accoudé au bar, il essayait de ne pas lui accorder trop d’importance mais cela était totalement impossible. Elle en avait, même s’il ne l’acceptait pas, même s’il essayait de tout faire pour ne pas le lui montrer. Il agissait comme celui qui ne ressentait rien mais ce n’était malheureusement pas le cas… A cet instant précis, il avait d’ailleurs une folle envie de tout casser simplement parce qu’elle rigolait avec ce type. Un bouffon, quelqu’un qui ne la méritait pas. Un… Possessif, il l’était encore plus avec elle. Au fond, elle ramenait tous ses défauts à la surface, les rendant plus puissant comme si elle se délectait de la voir souffrir. L’homme passa doucement sa main dans le dos de Zepp, descendant de plus en plus vers ses… Ne tenant plus, il se précipita vers lui et le frappa de toutes ses forces. Une tape puis une deuxième. L’homme détala comme un animal apeuré tandis qu’un sourire conquérant pouvait se lire sur son tendre visage. « Putain mais t’es con où quoi ! » Il se retourna vers elle et la défia du regard. Il n’allait pas se laisser charmer ou du moins allait essayer de ne pas craquer davantage. « Quoi, je pensais qu’on recommençait ton petit jeu. Que je devais jouer le petit ami jaloux et toi la petite garce qui drague tout le monde. » La baffe avait valsé sur son visage et il l’avait méritée. Cet acte violent au premier abord montrait aussi combien elle était différente de toutes les autres. Non, ce n’était pas une petite demoiselle comme tant d’autres fragile et faible. Elle était forte, dangereuse, un peu trop et il se perdait avec elle. Il devenait fou par chacune de ses actions. Un bonheur se confondant avec une souffrance infinie, voilà ce qu’il vivait maintenant. « Non, ce soir c’était open bar… Enfin, tu viens de gâcher mon plan de la soirée, je vais devoir me remettre en chasse. » Elle vida son verre avant de passer tout près de lui, se collant presque comme si elle savait que cela ne ferait que le faire enrager encore davantage. Buvant un verre après l’autre, il la suivit du regard, la voyait entourée de garçons à qui elle se collait. Ô non, elle ne finirait pas seule ce soir. L’heureux élu ? Il n’en avait vraiment aucune idée pire il ne voulait pas le savoir. S’il voulait gerber ce soir, il n’avait qu’à imaginer l’un de ses porcs touché sa Sloaàn. Techniquement elle n’était pas à lui mais dans sa tête, c’était différent, il l’avait possédé, il l’avait choisi, sans même le vouloir et tout se rassemblait en un bordel d’incompréhension. Ne supportant plus le spectacle, il chercha à son tour une proie facile. Trouvant dans l’assemblée quelqu’un d’assez faible pour tout subir sans rien dire, il se mit en chasse. Quelques instants, toilettes des dames, il accomplissait l’une de ses actions favorites où la femme restait un objet, un simple vides-couilles. Et pourtant chaque fois qu’il l’agressait d’un coup de reins, il pensait à Zepp, à la chaleur de sa peau, à combien il aimait l’entendre gémir et surtout qu’à cet instant, elle était surement en train de le faire avec un autre. L’idée grandit dans son esprit, le submergea d’une colère teintée de rage tandis qu’il enserrait le cou de la demoiselle. Il lui prit son air, la conduit au bord de la fin tandis qu’il relâchait son plaisir. Tel un jouet usagé, il la laissa dans un coin, ne s’y intéressant même plus. Le corps un peu moins chargé mais l'esprit toujours confus, il quitta l'endroit surchargé et monta sur sa moto sans se soucier des limitations de vitesse. Quelques minutes et il arriva sur le lieu tant désiré. Ne prenant même pas la peine de s'annoncer, il prit la clé cachée sous le paillasson et entra à l'intérieur. Il vit un Preston, légèrement endormi devant sa tv rouvrir les yeux en le voyant. « Sid, j'aurais jamais dû te dire où était la clé et... » Il se redressa d'un coup en remarquant la tête affreuse que faisait son tendre ami. « Je ne sais pas comment elle s'appelle mais mon vieux, tu dois être sacrément accroc pour te retrouver dans un état pareil. » Est-ce que même son corps trahissait son envie irrémédiable de la posséder à nouveau ? Est-ce qu'il était si facile de savoir qu'il était totalement en manque d'elle et que rien ne pourrait combler cela ? Sans aucun doute. Toutefois, il préférait se concentrer sur son ami, la seconde personne qu'il avait rencontré en arrivant, il y a peu de temps, à Brysonplace Allant chercher une bière, il lui ramena une avant de trinquer. « Trinquons à nos vies d'éternels célibataire, baiseurs invétérés et sans aucune limité donnée. » Il se mit à rire avant d''avaler sa boisson à grande gorgée. Tout oublier... Surtout cette sensation détestable. Elle lui manque... Il est foutu...
Dernière édition par Sidney E. Flurry le Dim 18 Mar - 0:09, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Ven 16 Mar - 23:01 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Ven 16 Mar - 23:09 | |
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Dernière édition par Maleva Shenalli le Ven 16 Mar - 23:16, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Ven 16 Mar - 23:16 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Ven 16 Mar - 23:21 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Ven 16 Mar - 23:24 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Ven 16 Mar - 23:38 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Ven 16 Mar - 23:47 | |
| Bienvenue ! Moi aussi j'veux un mac flurry maintenant |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 0:26 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 0:30 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 0:36 | |
| Un corps de Flurry ... |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 1:01 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 1:17 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 1:35 | |
| bienvenue |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 2:33 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 3:02 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 5:45 | |
| Arf, je voulais faire une blague graveleuse avec les mac flurry mais on m'a devancé. Bouuuh, je pleure... Bienvenue en tous cas, et bonne chance pour ta fiche. |
| | | Invité
| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 6:08 | |
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ADMIN ி phase télépathe, éclate des packs ☄ date d'inscription : 03/03/2012 ☄ nombre de messages : 1030 ☄ doppleganger : maeloveo, chérie ! ☄ coprights : fade out. ☄ célébrité : le regard qui tue. ☄ pseudo : marine, fade out.
| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Sam 17 Mar - 15:34 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Dim 18 Mar - 0:11 | |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Dim 18 Mar - 0:14 | |
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ADMIN ி phase télépathe, éclate des packs ☄ date d'inscription : 03/03/2012 ☄ nombre de messages : 1030 ☄ doppleganger : maeloveo, chérie ! ☄ coprights : fade out. ☄ célébrité : le regard qui tue. ☄ pseudo : marine, fade out.
| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. Dim 18 Mar - 0:27 | |
| D'où t'oses nous donnez des ordres, toi ? Petite ingrate, tu mériterai une sentence digne de ce nom Sid, j'adore ta fiche, très jolie puis la fin, han Bref, bref, je suis pas là pour détailler, passons aux choses sérieuses..
J'ai fait de mon mieux, c'était dure, j'ai vaincu, j'ai appris à lire, rien que pour ça, tu dois me discerner un award. Bref, osef ta fiche à l'air d'être complète, je peux donc te valider ! Bouge ce qui te sert de derrière et va recenser ton avatar dans le bottin, ouais sinon on te voit venir tu va zbeuler le forum si quelqu'un d'autre débarque avec ton avatar T'es peut-être un bon élève, mais pour l'instant tu as eu un nouveau zéro dans ton bulletin, alors file lire les annexes pour mieux t'intégrer au forum et pas venir me souler avec tes questions. C'est bon tu as réussis ta vie, tu peux donc poster ta fiche de liens, rp avec les autres membres, mais minutes petit cafard avant de te ruer tel un poulain en rûte, il est important et même obligatoire à ta survie que tu lises le guide concernant les liens. Si jamais tu as des questions où juste une envie de faire chier ton monde, le staff est là pour toi Bon jeu parmi les badants
Du coup t'es obligé d'avoir un lien avec moi et de me vénérer comme il se doit |
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| Sujet: Re: ๑ On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. | |
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